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Les symptômes de la névrose obsessionnelle et leurs conséquences sociales.

Les symptômes de la névrose obsessionnelle et leurs conséquences sociales


 
           Découverte par Sigmund Freud à la fin du 19ème siècle, la névrose obsessionnelle donne souvent l’impression d’être asymptomatique. C’est l’une des raisons pour lesquelles il a fallu attendre autant de temps avant de la découvrir alors que les symptômes de la névrose obsessionnelle et leurs conséquences sociales sont présents depuis l’antiquité.
 
Avant Freud, seuls les symptômes les plus graves de la névrose obsessionnelle furent remarqués, notamment par les aliénistes qui les catégorisaient comme des formes isolées de folie et de dégénérescence.
 
Des grandes obsessions à l’impossibilité radicale d’effectuer des actions, des ruminations mentales chronophages à la répétition de rituels absurdes et interminables, la névrose obsessionnelle était uniquement considérée à travers ses symptômes paroxystiques.
 
Cependant, ces symptômes qui donnent l’apparence de la folie - seulement l’apparence – sont particulièrement rares au regard des formes moins marquées qui passent plus inaperçues.
 
Atténués, banalisés, la plupart des symptômes de la névrose obsessionnelle sont en général minimisés par le névrosé obsessionnel lui-même du fait du rapport tyrannique à ce qu’il pense être attendu de lui.
 
Considérant sa propre symptomatologie comme une tare qu’il faut cacher, le névrosé obsessionnel tend à dissimuler ses propres symptômes en adhérant notamment à des systèmes de pensées erronés qui les justifient et les atténuent.  
 
Mais même s’ils sont minimisés par le névrosé lui-même, les symptômes de la névrose obsessionnelle n’engendrent pas moins une souffrance qui semble se répercuter d’autant plus qu’elle est méconnue : plus le névrosé minimise ses symptômes en les annulant rétroactivement, soit en les généralisant ou en les banalisants, plus l’expression du conflit qu’ils représentent semble se déplacer et se représenter, dans des symptômes corporels et organiques mais aussi sur l’entourage et sur la société.
 
En effet, la part des symptômes corporels et organiques dans l’expression du conflit obsessionnel est à ce jour particulièrement mésestimée, tout comme son influence sociale.
 
Quand ce ne sont pas les amis, le conjoint ou encore les enfants du névrosé obsessionnel qui paient le prix de sa tendance à minimiser sa propre symptomatologie, il semble possible de remarquer que ce sont les institutions elles-mêmes qui peuvent fonctionner de manière obsessionnelle.
 
En effet, nous pouvons constater que ces systèmes de pensées erronées qui permettent aux névrosés obsessionnels de justifier et de minimiser leurs propres symptômes ne sont pas sans conséquences sociales
 
Entre les systèmes d’éducation rigides et ritualisés et ceux qui tendent au laxisme et à l’anarchie, entre les systèmes politiques contraignant et ceux qui prônent un libéralisme sans limite, entre les systèmes pseudo-scientifiques qui soutiennent le fatalisme de organicisme et ceux qui défendent la toute-puissance de l’esprit et de la volonté, la névrose obsessionnelle se représente dans des systèmes d’idées arrêtées qui peuvent s’opposer, parfois non sans violence dans l’histoire de l’humanité.
 
En observant plus précisément l’organisation signifiante de ces systèmes qui semblent si opposés, nous pouvons voir comment la névrose obsessionnelle s’organise défensivement sur des formes opposées de croyances rigides qui semblent parfois très rationnelles.  
 
Telle une religion privée qui s’institutionnalise, la symptomatologie obsessionnelle n’est pas sans conséquences. Elle s’observe à ce jour dans de nombreuses institutions sociales, notamment dans le champ de la médecine, de la psychologie, de la politique, de l’économie ou encore de l’écologie.
 
Des fonctionnements institutionnels absurdes et ritualisés aux obsessions idéologiques qui désorientent la fonction de nombreuses institutions, la question des symptômes obsessionnels et de leurs conséquences sociales est plus que jamais d’actualité.
 
Ainsi, nous pouvons considérer que ces fausses théories obsessionnelles forment un symptôme secondaire typique de la névrose obsessionnelle. Mais en donnant l’apparence de la rationalité et en étant relativement partagée, il semble que leur dimension symptomatique échappe encore trop souvent au diagnostic clinique.  
 
Finalement, nous pouvons constater avec Freud que la névrose obsessionnelle est d’une telle richesse défensive et d’une telle complexité architecturale qu’il est difficile de la résumer à une liste de symptôme.
 
Précisions d’ailleurs que cette tendance à faire des listes toujours plus détaillées, comme le DSM par exemple, est un symptôme précisément obsessionnel
 

Quelques symptômes de la névrose obsessionnelle

Pour illustrer quelques-unes de ces manifestations symptomatiques, il nous semble plus judicieux de mettre en évidence ici certaines oppositions par lesquels la névrose obsessionnelle tend à se représenter. En effet, la symptomatologie obsessionnelle se manifeste dans des formes opposées et ce sont notamment ces expressions contradictoires qui entretiennent les erreurs de diagnostics à l’égard de la névrose obsessionnelle, soit sa méconnaissance. 
 
Par exemple :
 
  • Le surinvestissement de la pensée et l’évitement de la pensée
 
  • La rumination de pensées négatives et le conditionnement de pensées positives
 
  • La procrastination et l’hyperactivité
 
  • La difficulté à prioriser et l’excès d’organisation
 
  • Les doutes compulsifs (tendance à trop douter, à douter de tout) et les croyances rigides, les idées arrêtées
 
 
  • La tendance à lâcher prise et le contrôle excessif
 
  • Les difficultés à se concentrer et la concentration rigide, obsessionnelle
 
  • Les troubles de l’attention et l’attention portée au détail
 
  • Les difficultés à raisonner logiquement et l’obsession pour la rigueur et la méthodologie
 
  • L’égarement de la pensée et la tendance obsessionnelle au pragmatisme
 
  • La demande obtuse d’indépendance, l’obsession de l’autonomie et la tendance à la dépendance
 
  • L’obsession de la liberté, l’anticonformisme et la tendance au conformisme et à la soumission
 
  • L’obsession de la différence et l’obsession de l’égalitarisme
 
  • L’obsession de la tolérance et de l’ouverture d’esprit et la tendance aux jugements catégoriques
 
 
À travers ces quelques exemples de symptômes typiques, nous voyons comment la névrose obsessionnelle se distingue par la multiplicité de ses combinaisons symptomatiques et par leur structuration sous forme d’opposition.
 
Si ces expressions contradictoires rendent difficile l’établissement du diagnostic, cette difficulté est renforcée par cette tendance à minimiser (annulation rétroactive) par laquelle le névrosé voile sa propre symptomatologie. Ainsi les doutes compulsifs sont souvent confondus avec des doutes rationnels, les obsessions avec de simples occupations mentales…
 
Par exemple, l’obsession de la liberté et de l’autonomie est régulièrement confondue, notamment dans les sociétés occidentales, avec un désir légitime de liberté et d’autonomie.   
 
Et cette difficulté à diagnostiquer la névrose obsessionnelle du fait de la disparité des symptômes ou du fait de la tendance à les systématiser semble devenir un véritable empêchement dès lors que le praticien est lui-même obsessionnel à son insu, soit dès lors qu’il nourrit lui-même des systèmes obsessionnels pour méconnaitre ses propres symptômes et partant, ceux de ses semblables.
 
Ainsi, la découverte freudienne des symptômes de la névrose obsessionnelle s’accompagne d’une découverte épistémologique majeure que nous retrouvons théorisée notamment sous la plume de Sandor Ferenczi au début du 20èmesiècle : le scientifique, notamment le clinicien, doit lui-même faire sa propre psychanalyse pour pouvoir protéger les résultats de ses recherches des biais que produisent ses mécanismes de défense.
 
Si cela est valable peu importe la structure psychique du scientifique, il semble que cette conclusion est d’autant plus pertinente pour le névrosé obsessionnel que l’isolation psychique et l’annulation rétroactive qui structurent son système défensif permettent de produire des fausses théories qui semblent très rationnelles.
 
Et de par sa tendance à considérer ses symptômes comme des fautes morales et à les minimiser dans des systèmes de raisonnement erroné, le clinicien de structure obsessionnelle semble rencontrer une plus grande difficulté à diagnostiquer la névrose obsessionnelle elle-même.
 
Cette règle éthique de la psychanalyse du scientifique n’étant pas respectée à ce jour, il n’est pas impossible de voir les effets délétères des systèmes idéologiques obsessionnels dans le champ de la santé.
 
Tel un tabou dont les conséquences sont annulées rétroactivement, l’affinité de cette névrose du raisonnement avec le domaine de la recherche a des conséquences fâcheuses dans le milieu médical et psychologique.
 
Elle engendre des faux raisonnements délétères et un obscurantisme qui se révèle d’autant plus destructeur qu’il donne l’impression de la rationalité.
 
Notons que cet obscurantisme s’applique à la psychanalyse elle-même mais également aux avancées scientifiques qu’elle permet : un siècle après la découverte de la névrose obsessionnelle, nous voyons que cette névrose et ses conséquences sociales, plus que jamais d’actualité, continue d’être méconnue… de manière obsessionnelle.
 
Tendance à ne considérer que les cas très graves, faux diagnostics comme celui d’état limite, de TOC, de TDAH, fausses théories et thérapeutiques obsessionnelles comme les thérapies brèves ou les traitements médicamenteux appliqués sans considérer la cause des symptômes, le poids du fonctionnement obsessionnel est lourd de conséquences dans le champ médical et psychologique.
 
Nous l’avons illustré lors d’une intervention au SIUEERPP en décembre 2019 (La dérive du champ médico-psychologique), l’illusion qui soutient ces fausses théories obsessionnelles se structure sur l’isolation psychique. Ce mécanisme de défense découvert par Freud mène à lire les phénomènes dans une perspective trop circonscrite en termes d’espace et de temps.
 
En d’autres termes, l’isolation psychique mène à considérer les phénomènes avec des œillères et à transformer les liens de contingence en lien de causalité.
 
Cela engendre des faux traitements dans lesquelles les moyens sont confondus avec la fin : le traitement adjuvant - traiter les conséquences symptomatiques de la névrose par des médicaments ou de la chirurgie en médecine - est confondu avec le traitement principal - traiter la cause des symptômes par la psychanalyse.
 
Cette tendance à focaliser l’attention sur des détails et à créer des fausses connections logiques est un symptôme typique de la névrose obsessionnelle. Il engendre des erreurs de raisonnement et des erreurs de jugements dont les conséquences sont délétères, tant pour le névrosé lui-même qui s’enlise dans des fausses solutions que pour ceux qui l’entourent et qui paient le prix de ces raisonnements erronés.
 

Ainsi, les faux raisonnements peuvent être considérés comme un symptôme typique de la névrose obsessionnelle.

 
Notons que Freud parlait de « fausses connexions » pour illustrer ces erreurs logiques et il a très rapidement souligné les fonctionnements absurdes, tant individuels que sociaux, auxquels conduisent la névrose obsessionnelle.
 
De même, l’inventeur de la psychanalyse avait bien repéré la disparité des formes symptomatiques que peuvent prendre la névrose obsessionnelle. Il a d’ailleurs mis en évidence comment les symptômes se structure de manière opposée, à travers les formations réactionnelles :
 
  • La difficulté à abandonner les objets, la tendance à la radinerie et le collectionnisme s’opposent ainsi à la tendance à la prodigalité et aux cadeaux.
 
  • La tendance à l’obstination et à l’entêtement s’oppose à la tendance à la résignation et à la soumission.
 
  • La tendance au laxisme s’oppose à la tendance à la rigidité et à l’autoritarisme
 
  • La tendance à la saleté et au désordre s’oppose ainsi à la tendance à la sur-propreté et à la maniaquerie
 
  • La tendance à la cruauté et aux injures scatologiques s’oppose ainsi à l’obséquiosité, à l’excès de politesse et à l’obsession de la justice, de la défense des opprimés
 
  • La tendance à rejeté toute autorité s’oppose ainsi au respect excessif de toute autorité.
 
En tant que ces symptômes se sont systématisés et qu’ils se sont enkystés dans la personnalité du névrosé obsessionnelle, ils sont souvent considérés des traits de caractères. Mais qu’elles soient mises en valeurs ou qu’elles soient considérées comme une forme de fatalité ou de norme, ces formations caractérielles n’en demeurent pas moins symptomatiques, tant pour le névrosé obsessionnel que pour son entourage.
 
Du fait de cette capacité à minimiser et à voiler ses propres symptômes dans des systèmes erronés, la névrose obsessionnelle continue à ce jour de passer largement inaperçue, même pour de nombreux analystes qui continuent à ne considérer que les cas les plus graves, soit à lire la névrose de manière isolée.
 
Ainsi, Freud avait remarqué que la névrose obsessionnelle était d’une extraordinaire richesse et il invitait vivement les psychanalystes à étudier cette structure psychique d’une remarquable ingéniosité. S’il avait peut-être sous-estimé la prépondérance de cette névrose du raisonnement dans le champ de la médecine et de la psychologie, son indication que les psychanalystes fassent leur propre psychanalyse nous parait non seulement essentielle mais aussi insuffisante à ce jour.
 
En effet, l’histoire de la psychanalyse et de la médecine depuis Freud montre clairement que la découverte freudienne ne cesse d’être annulée rétroactivement ou considérée de manière isolée, soit sabotée dans et par des systèmes obsessionnels.
 
Ainsi, nous ne pouvons qu’être d’accord avec la proposition de Fernando de Amorim qui suggère que les psychanalystes continuent leur propre cure psychanalytique dès lors qu’ils continuent d’exercer.
Le non-respect de cette règle éthique semble entrainer un dévoiement obsessionnel de la psychanalyse qui vient renforcer celui de la médecine.
 
Finalement, la découverte freudienne de la psychanalyse est une avancée scientifique qui modifie en profondeur l’organisation du champ de la santé : il est impossible de soigner véritablement le corps d’un être humain sans traiter la question de son désir, de son rapport à son existence et à son corps.
 
Du fait du lien, chez l’être parlant, entre le psychisme et le corps, la découverte freudienne vient éclairer à postériori que la médecine actuelle ne peut plus être dissociée de la psychanalyse sans perdre littéralement sa fonction de soin.
 
Or cette tendance à annuler cette découverte fondamentale et à continuer d’isoler le traitement de l’organisme de celui du psychisme, en confondant le soin avec l’expédient, peut être considérée comme un symptôme obsessionnel, soit comme un système erroné qui se soutient sur l’isolation psychique et l’annulation rétroactive.
 
En traitant les symptômes de manière isolé, soit en considérant le phénomène sans considérer ce qui le cause vraiment, une grande partie des prescriptions médicales actuelles ne permettent pas de traiter véritablement la source de la plupart des symptômes (psychiques, corporels et organiques) et ce faisant, non seulement elles ne les soignent pas mais elles les entretiennent.
 
Très lourd pour le système de santé, le fonctionnement aberrant du système médical actuel illustre cette dimension absurde que Freud éclairait il y a plus d’un siècle.
 
Et ce fonctionnement obsessionnel se repère tout autant dans les champs actuellement isolés de la psychologie et de la psychiatrie. Nous l’avons déjà souligné, le DSM est un système de classification obsessionnel de la même manière que les « thérapies brèves » forment ni plus ni moins des systèmes de suggestions obsessionnels, soit des nouveaux rituels composés d’interdits et d’auto-persuasions, d’actes expiatoires et de contre-pensées.
 
Ainsi, les symptômes de la névrose obsessionnelle et leurs conséquences sociales invitent plus que jamais les psychanalystes à considérer ces systèmes erronés comme des symptômes majeurs de cette névrose de la pensée et ainsi, à s’intéresser à leurs effets délétères dans les milieux de la recherche et dans l’ensemble de la société.
 
Car ce sont précisément ces constructions symptomatiques secondaires qui permettent à la névrose obsessionnelle de passer inaperçue : s’il a fallu attendre Freud pour pouvoir la dévoiler au grand jour, nous pouvons constater que la névrose obsessionnelle tend à nouveau à se voiler dans les milieux scientifiques à travers des systèmes erronés qui isolent ses symptômes où les annulent rétroactivement.
 
Et ce phénomène qui affecte les institutions psychanalytiques elle-même vient éclairer, à postériori, la remarquable capacité par laquelle la névrose obsessionnelle réussi à se dissimuler et à s’institutionnaliser.
 
Ainsi, dans le couple, dans la famille et dans les institutions sociales, le symptôme obsessionnel se voile et s’enkyste à travers des systèmes erronés qui désorientent la fonction des institutions.
 
Qu’il concerne le champ de la santé, la politique ou encore l’économie, le fonctionnement obsessionnel produit des solutions absurdes dont les effets délétères sont plus que jamais d’actualité.
Entre l’obsession de la croissance et de l’accumulation des richesses qui gouverne l’économie mondiale, en détruisant la planète, et les systèmes fatalistes ou climato sceptiques qui isolent et annulent rétroactivement la symptomatologie obsessionnelle, l’étude des symptômes obsessionnels et de leurs conséquences sociales apparait plus que jamais d’actualité.
 
 

Névrose obsessionnelle, symptômes et conséquences sociales 

 
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